Après la quatrième participation, j’ai toujours les mêmes difficultés à gérer le passage dans le bois. Mais, cette année, la remontée vers Sathonay-Camp fut très délicate. Pour me rassurer, je vais attribuer cette déconvenue aux efforts consentis lors du marathon de Paris.
Merci à Jean-Paul Dumeignil qui nous a accompagné depuis la montée du Poney Club jusqu’à l’arrivée sur Sathonay-Village.
Laurent
Comme souvent, le soleil était fâché avec le 1er mai sans doute parce que lui aussi voulait profiter de la fête du travail.
Nous n’avons pas eu à subir beaucoup de pluie mais plutôt un fort vent du Sud et un terrain très glissant dans le bois du ravin. Heureusement, nous avions repéré ces chemins ces derniers temps et nous sommes restés sur nos deux jambes. Tous les participants n’ont pas eu notre chance et/ou dextérité.
La satho verte course nature de 15 km 230 m de dénivelé constitue un effort violent.
Le début et la fin du parcours nous ont mis au supplice mais au final, nous avions tous le sourire à l’arrivée.
Bruno a démontré qu’il avait encore ses jambes d’ailier, Jean Paul a été encore exemplaire dans la gestion de son effort, quant à Laurent et Pierre c’était déjà le retour à la compétition 15 jours seulement après le marathon…
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laurentaugersatho 